Tu as déjà essayé d’écrire un article sur un festival de musique? Tu verras, c’est super simple! Il suffit de prendre des notes sur l’ambiance générale, d’être en alerte pendant les concerts pour pouvoir retranscrire l’ADN du groupe ou du chanteur. Il faut aussi tester plein de stands de nourriture afin de créer un guide des endroits à ne pas louper et ceux à éviter. En résumé, il faut aller sur place, se balader et tout noter sur un calepin. Mais ça, c’est en théorie.
Pour sa 43ème édition, le Paléo a vibré au son du hip-hop: Orelsan, NTM, Nekfeu, Roméo Elvis ou encore Bigflo & Oli. Tout ce qu’on adore!
Ce qui n’est pas précisé, c’est la difficulté de rester concentré quand l’atmosphère estivale du plus grand festival de musique en plein air de Suisse t’absorbe à peine tu franchis les portes d’entrée. En plus, pour sa 43ème édition, le Paléo a vibré au son du hip-hop: Orelsan, NTM, Nekfeu, Roméo Elvis ou encore Bigflo & Oli. Tout ce qu’on adore!
Mais ne t’inquiète pas, on va réussir à réunir les informations nécessaires à la rédaction de cet article. Mais avant toute chose, baladons-nous un peu sur la plaine de l’Asse. On s’occupera de prendre des notes plus tard. Parce qu’entre la foule, la musique, les stands de nourriture du monde entier, les infrastructures, les pavillons, il faut un peu de temps pour s’imprégner de l’endroit, n’est-ce pas?
Mince! On n’a pas vu le temps passer et voilà déjà le soleil qui disparaît doucement à l’horizon. Et à peine le temps de discuter avec tous les potes croisés que les premiers concerts débutent: Nekfeu, Gorillaz, Oreslan, Roméo Elvis, Rilès. On est prêtes à griffonner dans notre calepin. C’était sans compter l’intensité des show, le flow ravageur des artistes et l’ambiance de ouf lorsque l’on danse à quelques mètres de la scène. La folie furieuse, impossible de se concentrer sur autre chose!
La semaine s’écoule à une vitesse folle. On se prend à croire que le temps de rédiger se représentera: après tout, il n’est que mardi. Mais malgré de longues soirées et de folles nuits, il est difficile de trouver un moment pour sortir de cette effervescence. Les 6 jours filent, les concerts s’enchaînent, les amis défilent, les voix diminuent à force de chanter et les verres ne désemplissent pas. Et puis le feu d’artifice de dimanche soir marque la fin de cette 43ème édition. Déjà? On recommence? La prochaine fois promis, on reste concentrées! Si Paléo promet d’être un peu moins dingue.